Son histoire
L’école secondaire Saint-Laurent résulte de la fusion entre deux écoles de Ville Saint-Laurent.
L’édifice Saint-Germain a été construit entre 1952 et 1953. Cette école a ainsi été nommée en reconnaissance des services rendus à la population de Saint-Laurent par l’abbé Jean-Baptiste dit Saint-Laurent, curé de la paroisse de 1829 à 1863.
En 1954, cette école devint une institution réservée francophones et dès 1956, elle n’offrit que les cours de niveau secondaire. Après une fermeture pendant 10 ans où l’édifice se transforma en centre de loisirs, l’école Saint-Germain fut rouverte pour les élèves du premier cycle du secondaire.
Aujourd’hui, l’école secondaire Saint-Laurent compte 1 636 délèves qui se répartissent sur deux pavillons : l’édifice Émile-Legault et l’édifice Saint-Germain. Une cinquantaine de nationalités se côtoient dans son enceinte. À peine 5% des élèves sont des Québécois francophones de souche et 66% sont issus de parents nés hors Québec.
Chaque année, lécole secondaire Saint-Laurent ouvre une douzaine de classes daccueil pour les nouveaux arrivants non francophones.
Son arrondissement
Saint-Laurent est reconnu pour sa population parmi les plus multiculturelles du Québec, il est donc facile de comprendre pourquoi plus d’une cinquantaine de nationalités se rencontrent chaque jour à l’école
Il n’y a pas si longtemps, Saint-Laurent était la troisième ville la plus importante de la Communauté urbaine de Montréal avec plus de 77 000 habitants, et la ville de la province du Québec qui comptait la plus grande proportion de citoyens dadoption.
Selon le recensement municipal de 1993, 39% sont francophones, 29% anglophones et 32% parlent une autre langue que le français ou langlais à la maison.
Avant de connaître un boom économique et démographique lié au développement de l’industrie aéronautique, Saint-Laurent était, à la fin du 19ème siècle, un...
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Son histoire
L’école secondaire Saint-Laurent résulte de la fusion entre deux écoles de Ville Saint-Laurent.
L’édifice Saint-Germain a été construit entre 1952 et 1953. Cette école a ainsi été nommée en reconnaissance des services rendus à la population de Saint-Laurent par l’abbé Jean-Baptiste dit Saint-Laurent, curé de la paroisse de 1829 à 1863.
En 1954, cette école devint une institution réservée francophones et dès 1956, elle n’offrit que les cours de niveau secondaire. Après une fermeture pendant 10 ans où l’édifice se transforma en centre de loisirs, l’école Saint-Germain fut rouverte pour les élèves du premier cycle du secondaire.
Aujourd’hui, l’école secondaire Saint-Laurent compte 1 636 délèves qui se répartissent sur deux pavillons : l’édifice Émile-Legault et l’édifice Saint-Germain. Une cinquantaine de nationalités se côtoient dans son enceinte. À peine 5% des élèves sont des Québécois francophones de souche et 66% sont issus de parents nés hors Québec.
Chaque année, lécole secondaire Saint-Laurent ouvre une douzaine de classes daccueil pour les nouveaux arrivants non francophones.
Son arrondissement
Saint-Laurent est reconnu pour sa population parmi les plus multiculturelles du Québec, il est donc facile de comprendre pourquoi plus d’une cinquantaine de nationalités se rencontrent chaque jour à l’école
Il n’y a pas si longtemps, Saint-Laurent était la troisième ville la plus importante de la Communauté urbaine de Montréal avec plus de 77 000 habitants, et la ville de la province du Québec qui comptait la plus grande proportion de citoyens dadoption.
Selon le recensement municipal de 1993, 39% sont francophones, 29% anglophones et 32% parlent une autre langue que le français ou langlais à la maison.
Avant de connaître un boom économique et démographique lié au développement de l’industrie aéronautique, Saint-Laurent était, à la fin du 19ème siècle, un paisible village agricole spécialisé en cultures maraîchères.
Ses élèves - Retrouvez leur déposition dans la rubrique Participants
Classe de Mata Miranda
Daquioag Karen Joy
Zhang Yan Zhao
Zhang Sheng Nian
Xia Meng Xuan
Wijaya Jessica
Roshdy Omar
Mohammad Sandie
Owono Serge
Maydanick Genya
Levinstein Andrea
Mata Manuel
Khoda Rivu
Jeha Reine
Preslav Ivanov
Gomes Beatriz
El-Hamid Elah
Chung Kattia
B. Aafi Kate
Al-Khaldi Maher
Guarro Brenda
Lopez André Felipe
Yevgeniy Maydanick
Classe de Carole Choronzey
Kamaté Moussa
Estela Cristian
Navarro Urias Karen
Mdayishimiye Jean-Bertrand
Radut Alexandra
Singh Dhari Satuvant
Masabo Kevin
Gonzales Alegria Mayra
Akel Ibrahim
Paramasivam Rasmitha
Adam Aché
Humayun Zain
Xu Jing
Humayun Sawara
Wu Ming
Guarro Gutierrez Paulina
Dunia Harati
Izedonmven Elizabeth
Son témoin
Dans le cadre de l’atelier Reporters de vie, Jenny Vouma, québécoise d’origine gabonaise et haïtienne est venue raconter son histoire devant les deux classes d’accueil.
Retrouvez son témoignage dans la rubrique Participants
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